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    Aanika Silvermoon, Lycanne et Alpha du croissant A

    Aanika Silvermoon
    Aanika Silvermoon
    ~ Alpha du Croissant ~


    Messages : 72
    Points RP : 119
    Date d'inscription : 25/02/2011

    Feuille de personnage
    Age :: 156 ans
    Information Importante ::
    Côté Coeur: : une boule de fer dont personne ne s'encombre

    Aanika Silvermoon, Lycanne et Alpha du croissant A Empty Aanika Silvermoon, Lycanne et Alpha du croissant A

    Message  Aanika Silvermoon Mar 8 Mar - 12:59

    ◙ Votre Personnage ◙

    Nom: Silvermoon

    Prénom: Aanika

    Surnom* : Maitresse, Prêtresse

    Âge: Apparence de la fin vingtaine,  véritablement 156 ans

    Race: Lycanne

    Localisation: Inconnu de tout être de l’extérieur

    Métier/Grade/Statut social: Alpha du croissant

    Orientation Sexuelle: Bisexuelle

    Description Physique et vestimentaire: Commençons par le plus simple, dans le cas de la lycanne, il s’agit de ses vêtements, que nous pouvons pratiquement résumer au mot « Absent ». Un pagne et un « soutien-gorge », au sens large du mot, de poils fait sont les seuls vêtements au nom de l’alpha, sauvage de choix, plus souvent animale qu’humaine. Ses cheveux, d’un brun-roux, se transforment en un poil dru et sec de la même couleur, ses yeux ne sont plus d’une autre couleur que le jaune de l’irritation de ceux de sa race, un regard qui ne porte plus trace d’humanité mais bien un sens animal de la vie, ayant abandonnée les usages de la noblesse loin derrière elle. Ses muscles, fins, ne sont pas moins développés, favorisant l’adresse et la vitesse à la pure force brute, la lycanne porte, au dos, nombre de marques de griffes de males ayant cru qu’elle serait facile à démettre de ses fonctions. Aucun d’entre eux ne vit plus, et la lycanne continue d’occuper la position d’alpha. Ses mains sont souvent tendues, lorsqu’elle est sous forme humaine, comme la patte d’un loup, se refusant presque de tenir quoi que ce soit de la façon de ces humains qui osent tenter de violer son territoire.

    Description mentale: La chasse est la matière de la vie, la vie est ce qui importe le plus, hormis celle de ceux qui sont où ils ne devraient être. C’est dans ce courant de pensée que vit la lycanne, féroce protectrice, dangereuse adversaire de quiconque ose attenter de pénétrer ses terres ou de traquer les siens. Elle possède un sens maternel qui s’étend à toute sa meute, malgré une méfiance certaine puisque n’importe lequel de ses « enfants » pourrait décider un jour de tenter de la prendre pour son rôle. Favorisant l’attaque sournoise, un art qu’elle pratique depuis plus d’un siècle et demi maintenant, elle possède une connaissance intra secte de ceux-ci, et donc est le type de louve que de simplement tenter de prendre à contrevent ne peut réussir sans un autre stratagème en parallèle. Loin d’être une couarde, elle figure souvent parmi le fer de lance de toute attaque contre un campement ennemi, et se contente plus souvent qu’autrement de la cervelle et du cœur des pauvres bêtes qui se croyaient sauves de sa furie. Pourtant, une fois les combats terminés, elle n’hésite pas à sacrifier un peu de ses forces pour s’assurer que la meute reste entière et puissante, ne souffrant d’aucune faiblesse, ceux qui n’avaient plus la force malgré ses soins se faisaient passer par les armes et dévorer par ses frères et sœur restants.

    Histoire:

    Les douces années

    Le monde est en paix, du moins, pour autant que les grandes guerres ne fussent plus lors de cette ère du monde. Ce fut donc dans l’esprit de cette « paix » que naquit Aanika, une louve qui naquit dans le clan du croissant d’une simple gardienne des terres, ayant eue deux frères de prime. Impressionnante, mais ce n’était point ce qui devait capter l’attention de ce monde qui se montrait si reclus, dans les bois des territoires lycans. La perte était toujours amère des terres supérieurs, et le clan du Croissant ne démordait pas que le peu qu’ils avaient… était leur. Le clan était toujours amer de cette perte, et pourtant plus de mille ans avaient passés depuis cette perte, et l’alpha actuel de la tribu n’aidait en rien, refusant d’admettre que le monde du dessus était perdu.

    Les mois devinrent des années, puis des décennies, les lycans continuant de chasser quiconque osait mettre les pieds sur le territoire et ne portaient en eux la force animale d’un lycan. Pour sa part, la jeune Aanika optait de souvent rester en retrait, observant les tactiques de la meute sans pour autant participer. Elle montrait les caractéristiques plus souvent d’une cérébrale que celles d’une violente et puissante lycanne, au grand déplaisir de son entourage immédiat qui couvrait ses actions par les leurs.


    Le don et le sang

    Le temps se faisait frais, et la lycanne arrivait à sa cinquième décennie lorsque partie la troupe, en chasse pour un nouveau combat, des intrus avaient osés, une fois de plus, venir sur leurs terres, la meute du Croissant ne pouvait laisser passer l’injure que les pas d’êtres indignes foulent la terre qui est leur. Il y avait près d’un an, maintenant, que la lycanne avait refusée de se laisser prendre par le male de la tête de ce clan, un être qu’elle détestait plus que tout en ce bas monde. Il était un couard, un lâche et un faible qui n’avait pas honte de se cacher derrière les autres plutôt que de foncer et donner un exemple. C’était dégoutant, et il avait juré qu’elle le paierait. Pourtant, elle n’avait cure de cela, dans son bon petit monde qui était rose, partant en chasse souvent avec sa famille, mais elle devait veiller sur les anciens, une tâche qu’elle aimait bien, à son corps défendant, puisqu’elle pouvait apprendre de ceux-ci. Mais tout n’allait pas pour le mieux, et elle sentait au creux de son estomac un vide incompréhensible. Le temps passait, et la lycanne devenait de plus en plus craintive. Était-il arrivé quelque chose? Elle allait et venait dans le village, ayant adoptée la forme lupin entière pour écouter les bruits de la forêt, son poil se hérissant alors qu’elle entendit des pas feutré dans les bois… puis un éclat de rire reconnaissable entre mille. Le chef de meute était de retour, et visiblement heureux de sa chasse. Aanika se cacha, bien que sans trop savoir pourquoi, alors qu’elle regarda le défilé de guerriers rentrer. Puis la file se termina, et la lycanne senti un courant d’air froid dans son dos. Ses frères… ils étaient partis avec lui, mais il n’étaient rentrés. Paniquée, la lycanne partie en coup de vent vers les lieux, se fiant a son odorat pour trouver d’où étaient venus le groupe. Puis l’odeur douce, envoutante, du sang, se fit sentir, mais lourd, oppressant pour Aanika, qui sentait la panique monter. On avait dit un groupe d’humains, mais il n’y avait ici que du sang lycan à l’odeur animale.

    Ce fut dans cet atmosphère que la lycanne trouva ses deux frères, ceux qui avaient tant donné pour qu’elle soit bien, un d’entre eux était déjà mort, ses yeux vitreux tournés vers elle, comme s’il l’accusait de ce qui se passait. Le loup noir, qu’elle reconnaissait, respirait encore, mais laborieusement, aussi prit-elle forme humaine, se moquant comme il se doit de sa nudité pour se jeter sur son frère. Ses blessures étaient graves, un de ses yeux avait été arraché et ses flancs labourés par des crocs et des griffes, la lycanne tentant de stopper le sang de ses mains, pressant sans douceur, se moquant de faire plus mal à ce lycan dont elle oublierait le nom pour préserver un équilibre mental. Puis, quelque chose se produisit, Aanika se sentant atteinte d’une nausée alors qu’elle sentait son esprit s’enfoncer dans celui de son frère. Quelques secondes, il chassait, mais ne trouvait de pistes avant de se faire frapper dans le dos, des crocs lui arrachant un bout de chair, son agonie se faisant celle de sa sœur, alors qu’il tombait sur le flanc, voyant l’alpha qui se tenait et le fixait, la sentence était claire, il l’avait amené ici pour mourir alors que des crocs s’enfonçaient dans son faciès.

    Le retour fut brutal pour la lycanne, qui passa de couchée, sous forme de loup, a celle, humaine, a genoux près de son frère. Ceci s’était-il vraiment produit? Était-ce vraiment possible? Quelque chose… quoi donc… venait de se produire, alors qu’elle retira doucement ses mains, regardant le flanc qui était de nouveau indemne de son frère, seul le sang qui marquait ses mains montrant que celui-ci avait été blessé… cela, et le fait que sa poitrine ne se levait plus pour s’abaisser. Il était mort, et elle l’avait soignée…

    La douleur déchira l’âme d’Aanika, qui serra les poings et reprit sa forme lupin, se jetant dans un ruisseau pour se défaire de l’odeur du sang. Elle les vengerait…


    Le prix du sang

    Beaucoup auraient attendus, pris le mal en patience lorsque la vengeance était concernée. La louve brune-rousse rentrait au campement, le lieu temporaire qu’elle avait nommée maison par le passé. Aanika n’était plus maitre d’elle-même, sa colère était palpable alors qu’elle avançait vers le centre où les guerriers festoyaient de leur « victoire », celle, traitresse, qui avait achetée la mort de sa famille. Elle reprit forme humaine, son corps trempé par l’eau, ses mains encore rouge du sang que ce traître avait fait couler pour son simple égo. C’était fini. Cette absence de tout sens devait prendre fin, et elle serait celle qui le ferait.

    Elle approcha et vint devant celui qui prétendait s’appeler Remus, l’Alpha de la tribu, cet hypocrite, ce sale monstre qui sourit en la voyant, disant quelque chose, sans doutes un ordre de s’agenouiller devant son seigneur, mais Aanika ne l’entendait plus, ses oreilles cillaient sous la pression de son sang, son poing serré à s’en blanchir les phalanges.

    « Je, Aanika Silvermoon, te défie, ici, maintenant, pour le rôle du dominant de cette meute! »

    Le silence se fit, et bon nombre eurent la mauvaise grâce de ricaner dans le dos de la lycanne, mais son regard brulait vif celui qui lui avait prit trop de ce monde pour un motif tout humain, son simple désir. Remus regardait autour de lui, cherchant un quelconque appui de ses guerriers, mais il ne semblait y en avoir. Il avait été défié, en bon et due forme, et se devait de répondre ou d’abdiquer sa position et partir dans la honte.

    Se levant, le seigneur de la meute semblait imposer le respect, dominant la femelle par sa taille et son expérience, mais quelque chose n’allait pas pour lui alors qu’Aanika se changeait sous sa forme lupin. Il la désirait, et ne voulait la tuer, aussi prit-il la forme de loup, dominant toujours Aanika, et fonça vers elle pour tenter de la plaquer de sa taille. C’était sans compter la force, la vitesse et la rage qui brulait en la lycanne qui, plutôt que de tenter de fuir, fonça vers celui qu’elle aurait dut appeler « alpha » mais qui fut rapidement réduit à « cadavre », la lycanne refermant ses dents autour du coup de Remus et lui imposa un coup sec, un craquement alors que l’autre lycan s’immobilisait. Non, la guerre n’était pas finie, la lycanne se libérant la patte arrière qui était tombée sous le poids de cette charogne qu’elle entreprit de dépecer de ses crocs et griffes. Normalement, elle aurait dévorée le cœur de Remus, mais elle se contenta de l’arracher du corps et de le jeter au loin, pantelante. La vengeance était entière, la lycanne fixant autour pour quiconque oserait la défier, ne rencontrant que des regards baissés.


    Le siècle

    Il fallu une décennie a la meute du Croissant pour reprendre le contrôle d’elle-même, une décennie pour laquelle Aanika eut à se battre pour unifier les siens. Elle ne voulait plus de ces guerres, de ces soucis, et relevait méthodiquement tout défi lancé à son autorité. Ce fut ensuite un siècle pratiquement sans histoire, les lycans se montrant moins agressifs, du coup, mais pas moins efficace dans l’extermination de quiconque n’est des leurs, refusant de partager avec quiconque n’est des leurs. Aanika continue, a ce jour, de veiller sur les siens.


    Animal de compagnie, monture, possession terrestre* : Un pagne de fourrure, une dague de silex et une lance de la même matière que sa dague

    Pouvoir: Décrivez brièvement vos pouvoirs si vous en possédez.

    Guérison : Un pouvoir qui lui vaut son titre de « prêtresse », Aanika peut faire cicatriser une blessure qui n’est causée par de l’argent ou un alliage de ce métal. Ce pouvoir lui cause des nausées et lui permets d’entrevoir vaguement l’esprit de celui ou celle qu’elle guérit, pouvant voir vaguement l’être qui a causé la blessure, mais sans nom, rien hormis une image, et cela seulement si la personne qui se fait soigner a vu son adversaire.

    Reconnaissance : Près d’un siècle au pouvoir permets à la lycanne de reconnaitre le loup qui hurle, ainsi qu’un brin de son état d’esprit, ainsi un cri de panique peut facilement la rendre dans cet état de même, un cri de colère lui fera tourner le sang.

    Inventaire: Un sac pour sa dague et son vêtement, le cuir usé par plusieurs décennies de négligence.
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    Aanika Silvermoon, Lycanne et Alpha du croissant A Empty Re: Aanika Silvermoon, Lycanne et Alpha du croissant A

    Message  Invité Jeu 10 Mar - 0:24

    Bonjour et bienvenue parmi nous!

    VALIDE

    Bon jeu.

      La date/heure actuelle est Sam 27 Avr - 13:29